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L’UNION : les statues

 

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Jean Baptiste

Jean-Baptiste est né en Judée, en 8 av. J-C , sa naissance est fêtée en Occident le 24 juin.
C’était le fils du prêtre Zacharie et d’Elisabeth, cousine de Marie, mère de Jésus.
La vie Jean est une "vie cachée" dans les déserts, se nourrissant de sauterelles grillées et de miel sauvage, jusqu’au jour où il revient proclamer, vers trente ans, le "baptême de repentir pour la rémission des péchés, prophétisé par Isaïe". Il a des disciples avec lui. Beaucoup pensent alors qu’il est celui qui est attendu et il répond : "pour moi, je vous baptise avec de l’eau, mais vient le plus fort que moi, et je ne suis pas digne de délier la courroie de ses sandales ; lui vous baptisera dans l’Esprit saint et le feu".
Il est mort décapité, sur demande d’Hérodiade, femme du gouverneur Hérode Antipas, lequel jugera également Jésus quelques temps plus tard.
 

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 Marie

 

le 24 février 1886, on installait une Vierge Mère de chez Monna statuaire à Toulouse.

 

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 Le Sacré Coeur

Le Sacré-Cœur est une dévotion au Cœur de Jésus-Christ, en tant que symbole de l’amour divin par lequel le fils de Dieu a pris la nature humaine et a donné sa vie pour les hommes. Cette dévotion est particulièrement présente au sein de l’Église catholique romaine mais aussi, quoi qu’à moindre échelle, dans l’Église anglicane et dans certaines Églises luthériennes. Elle met l’accent sur les concepts d’amour et d’adoration voués au Christ. La solennité du Sacré Cœur a été instituée par le pape Clément XIII en 1765 et étendue à toute l’Église catholique romaine par le pape Pie IX en 1856.

L’extension de cette dévotion dans l’Église catholique romaine à partir du XVIIe siècle provient des révélations d’une religieuse visitandine catholique du couvent de Paray-le-Monial en Bourgogne, Marguerite-Marie Alacoque, qui a affirmé l’avoir reçue du Christ lui-même lors de différentes apparitions entre 1673 et 1675, et, plus tard, à partir du XIXe siècle, provient des révélations d’une autre religieuse supérieure catholique du couvent de la Congrégation du Bon Pasteur de Porto, en Portugal, Marie du Divin Cœur, comtesse Drost zu Vischering, qui a demandé, au nom du Christ lui-même, au pape Léon XIII qu’il consacre le monde entier au Sacré-Cœur de Jésus.

Célébré le 3e vendredi après la solennité de la Pentecôte

 Appelé aussi Fête du Cœur de Jésus.

 

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 Joseph et l’enfant Jésus 

 
Saint Joseph, debout, porte sur son bras gauche l’Enfant Jésus qui tient dans une main un globe.
La représentation autonome de saint Joseph (sans la Vierge Marie) se répand surtout après la Contre-Réforme et devient assez populaire en Espagne.
Saint Joseph tient à la main un lys, emblème de son union virginale avec Marie.
En raison de la délicatesse et de la couleur blanche de ses fleurs, le lys est aussi associé à la Vierge Marie, et il symbolise en particulier sa pureté et son humilité.

 

 

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Saint Antoine de Padoue

Fernando Martins de Bulhões connu comme Saint Antoine de Padoue ou Saint Antoine de Lisbonne, né en 1195 à Lisbonne et décédé le 13 juin 1231 près de Padoue (Italie) était un prêtre franciscain, maître de doctrine spirituelle, prédicateur de renom et thaumaturge.

Il tient une Bible ouverte avec un Enfant Jésus qui sort de la Bible. Cela symbolise qu’en lisant la Bible, on rencontre quelqu’un de vivant, Dieu.

Il fut canonisé en 1232, moins d’un an après sa mort, et déclaré docteur de l’Église en 1946. Liturgiquement il est commémoré le 13 juin.

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Thérèse Martin en religion sœur Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, plus connue aussi sous l’appellation de sainte Thérèse de Lisieux ou de sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus

(Alençon 2 janvier 1873 - Lisieux 30 septembre 1897) est une jeune Normande entrée au couvent et devenue religieuse carmélite à l’âge de 15 ans, (elle n’hésita pas à intervenir auprès du pape Léon XIII). Elle est morte de la tuberculose le 3O septembre1897 à l’âge de 24ans.

Laissant une relation littéraire de ses expériences mystiques, elle est canonisée en 1925, puis proclamée sainte patronne secondaire de la France et des missions et Docteur de l’Église.

Elle est fêtée le 1er octobre. 

 
 

 

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Sainte Germaine de Pibrac

Fille d’un modeste laboureur, Laurent Cousin et de son épouse Marie Laroche, Germaine naît à Frouzins petit village près de Toulouse, en 1579.

Atteinte de scrofules (adénopathie tuberculeuse), elle a aussi une main atrophiée. Sa mère meurt alors qu’elle était encore très jeune. Son père se remarie et dès lors, elle subira les humiliations de sa belle-mère, acariâtre, et sera reléguée dans un appentis, loin de la vie familiale.

Elle persuada son père de l’envoyer garder les troupeaux, où là, dans la nature, elle pouvait réciter son chapelet et trouver le réconfort dans la prière. Tous les jours elle allait à la messe.

Elle donnait le peu de pain qu’elle avait aux pauvres. Un jour de 1601, son père la trouva morte dans le réduit où on l’obligeait à dormir. Elle avait 22 ans. Elle fut enterrée dans l’église de Pibrac, et peu à peu tout le monde oublia l’existence de cette sépulture.

Les miracles de son vivant

Sainte Germaine gardant ses moutons

  • Elle plantait sa quenouille en terre et la quenouille gardait les moutons ; jamais une brebis ne s’égara, et jamais non plus les loups, pourtant nombreux dans la région à cette époque, n’attaquèrent le troupeau.

  • Pour aller à l’église, elle devait passer un gros ruisseau. Un jour que le ruisseau était en crue, des paysans qui la voyaient venir se demandaient, d’un ton railleur comment elle ferait pour passer. Les eaux s’ouvrirent devant elle et elle traversa sans même mouiller sa robe.

  • Un jour, sa marâtre l’accusa de voler du pain. Elle la poursuivit afin de la frapper et de la confondre, malgré l’insistance de voisins qui voulaient la retenir. Quand celle-ci rattrapa Germaine et lui fit ouvrir son tablier, à la place du pain qu’elle pensait y trouver s’étalait une brassée de roses. Son père fut alors ébranlé, il interdit à sa femme de frapper Germaine et lui demanda de réintégrer la maison ailleurs que dans le grabat qu’elle occupait. Elle refusa.

  • La nuit de sa mort, on raconte que deux religieux en route pour Pibrac à la nuit tombée, virent passer en direction de la maison de Laurent Cousin deux jeunes filles vêtues de blanc. Le lendemain matin, alors qu’ils reprenaient leur route, ils virent ressortir trois jeunes filles, dont l’une, encadrée par les deux autres, était couronnée de fleurs.

Les miracles après sa mort

En 1644, alors que le sacristain se préparait à organiser des funérailles en creusant une fosse, il tomba sur un corps enseveli dont la fraîcheur le stupéfia. Même les fleurs que la morte tenait étaient à peine fanées. A la difformité de sa main, aux cicatrices des ganglions de son cou, on reconnut Germaine Cousin. Toutefois, son corps fut déposé dans un cercueil de plomb, offert par une paroissienne guérie par l’intercession de la sainte, et déposé dans la sacristie où il demeura, à nouveau oublié, encore seize ans.

Le 22 septembre 1661, le vicaire général de l’archevêque de Toulouse, Jean Dufour, vint à Pibrac. Il s’étonna de voir ce cercueil resté dans la sacristie, le fit ouvrir, et découvrit que la sainte présentait toujours le même état de fraîcheur. Il fit creuser tout autour de là où le corps avait été trouvé, et tous les morts enterrés au même endroit n’étaient plus que des squelettes. Ébranlé par ce miracle, le vicaire général demanda la canonisation de Germaine en 1700.

Sa dépouille subit encore de nombreuses pérégrinations accompagné de plusieurs miracles.

A Pibrac, une basilique a été élevée en son honneur. La maison natale de Germaine Cousin existe toujours. Elle est située à environ 2 kilomètres du village de Pibrac. Récemment restaurée, on peut la visiter.

Germaine fut béatifiée par Pie IX le 7 mai 1854, puis canonisée en 1867.

 

voir aussi la rubrique "Sainte Germaine dans nos paroisses"

 

 
 
Publié le jeudi 14 octobre 2010
Mis à jour le vendredi 18 novembre 2011

 
 
 
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